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Conflits internes
Melissale 12 juin 2021 à 13:19

Bonjour à tous,
Il m'arrive régulièrement d'être en conflit entre ma rationalité et mes émotions.
C'est un vrai probleme pour moi.
La par exemple je viens de rompre avec mon compagnon (et c'est pas la première fois). Pour plein de raisons je sais que c'est la bonne décision (meme si je l'aime), mais je suis au bord de la panique. Pour le moment il me laisse tranquille, mais je sais que, comme les autres fois, si il vient me chercher en pleurant je vais avoir du mal a ne pas céder 1 a la panique 2 a l'amour que j'ai pour lui 3 a la peine que je ressens pour lui quand il est comme ça.
Avez vous des astuces, quelles sont vos expériences à ce niveau ?

Ambre31le 12 juin 2021 à 13:46  •   62298

Prendre la décision de rompre, d'ailleurs, comme toute décision ayant de lourdes conséquences, est hyper difficile aussi pour moi. Je peux tergiverser pendant longtemps. Par contre, quand j'ai rompu avec mon mari cet hiver, j'avais beau me, dans mon raisonnement, ne pas être sûre de moi, mes émotions étaient hyper claires, il fallait que je parte, toutes mes actions allaient dans ce sens. Encore aujourd'hui, je me demande ce que je fais à mettre le souk comme ça dans nos vies, mais je SENS que je n'ai pas le choix.
Et ça rejoint ce que je viens de te dire sur l'autre fil, être soi, c'est faire confiance à ce que l'on sent. Avec un raisonnement, tu peux tout justifier, mais avec une sensation, c'est juste chaud ou froid.
Donc mon astuce, c'est de te fier à ce que tu sens.

Melissale 12 juin 2021 à 14:40  •   62309

Bien ce que je ressens est contradictoire selon la situation.
Dans la relation je ne me sens pas a ma place. Pourtant je l'aime aussi ! Mais quand je men vais je panique littéralement. Suffit qu'il insiste pour que je revienne sur ma décision. Et ça jen ai marre. Je manque de cohérence emotionnelle.
Je t'ai repondu sur ton autre fil ! C'est fou car chaque intervention est d'une grande profondeur, nous allons loins zt vite, je n'ai jamais vu ça c'est fantastique ! J'ai l'impression qu'on est une bande de super heros trop heureux de se decouvrir et reconnaître 😄 😂

Ambre31le 12 juin 2021 à 14:43  •   62311

J'aimerais bien aller aussi vite que tu le dis 🙂.

Je me demande aussi en quoi tu paniques ?

Rothle 12 juin 2021 à 14:45  •   62312

@Melissa: casser- se remettre ensemble- casser - se remettre ensemble, ça peut être un mode de vie.
Mais de ce que j'ai pu observer chez d'autres, c'est fatigant, usant même. Et à long terme c'est pas forcément positif non plus, c'est en général quelque chose du style reculer pour mieux sauter.

C'est sans doute pas facile et justement ça semble échapper à notre rationalité, notre pouvoir de décision, mais je pense ( je ne dis pas que j'y arriverais volontairemnt moi-même à chaque fois) qu'il faut, dans ce contexte, si ça ressort, écouter ce que tu entends au fond de toi.
Je crois qu'on a tous ( ou la plupart ? j'aimeras que ce soit tous) la possibilité de s'appuyer sur ça, qu'on a une ressource qui fait une synthèse non consciente de tous les éléments décisonnels à disposition, et oriente notre choix dans ces moments-là. Sur ce sujet au moins, en relation avec les rapports humains.
Pour avoir quelques fois voulu aller dans le sens inverse du feeling ( appelle-ça comme tu veux) que je pouvais avoir par rapport à une relation ( amoureuse notamment), je peux juste dire qu'aller contre a, de mémoire, été à chaque fois une erreur au final.
Je rejoins donc ce que dit @Ambre31.

Melissale 12 juin 2021 à 14:54  •   62313

Je ne sais pas pourquoi je panique. Cette relation à une autre relation que j'ai eu et qui ma fair énormément de mal. Aujourd'hui la différence c'est que je sais que je vais pas mourrir si je suis seule, au contraire. Donc ma panique n'est pas liée à ça. Est ce que c'est la peur de son retour en force car je sais que je ne tiens pas la resistance sur la fermeté de ma décision face a ses sollicitations ? Ou est ce que jai peur que seule je me referme dans mes livres, le confort de ma solitude et là jai peur de crever. Alors que lui egayait ma vie et ne me laissait pas tourner en rond ? Je ne sais pas ça m'agace. Quand on me laisse partir jy arrive. Mais dans le cas contraire, j'ai l'impression d'être pour une fois tellement aimée que je ne sais plus résister.

Cette fois ci je vais essayer de ne pas me renfermer, vive la rencontre de juillet ! 😄

Ambre31le 12 juin 2021 à 14:57  •   62314

Mais est-ce que tu l'aimes ou est-ce que tu aimes qu'il t'aime ? Il me semble que ce n'est pas pareil, non?

Melissale 12 juin 2021 à 15:19  •   62316

Les 2. Il a des qualités, qui font que je l'aime, mais un énorme défaut, celui d'être courreur qui fait que je me prends la tête, je ne veux pas vivre comme ça, ça me bouffe. Si il n'était pas courreur ce serait fantastique mais non seulement on ne change pas une personne et ça c'est rédhibitoire. Je suis entière je ne veux pas ressentir le besoin de plaire à un autre homme que le mien en réaction au fait de me sentir dévalorisée par ses réflexions et ses "dérapages".
Donc je dois sortir de là.

Ambre31le 12 juin 2021 à 15:31  •   62317

Je comprends mieux ton conflit interne. Cela pose la question de comment faire quand on aime mais qu'on n'est pas aimé en retour autant qu'on le voudrait ou en aurait besoin...
Pour ma part, c'est sentir cette force en moi, tenace, partant en recherche d'autres regards aimants, qui m'a fait arrêter de croire à mon histoire avec mon mari.

Melissale 12 juin 2021 à 16:27  •   62320

Surtout comment ne pas paniquer et essayer de garder la tête froide. Quand je panique c'est pas a moitié. Là ça m aide de parler sur le forum, je penses a autre chose, je lis des belles personnes et interessantes !

Ambre31le 12 juin 2021 à 17:04  •   62322

Respirer ça aide aussi, il paraît 🙂.

Ambre31le 12 juin 2021 à 18:00  •   62324

On dit que pour se sortir de la peur, une solution consiste à écrire sa peur. Cela pourrait t'aider ?
Souvent ne réussissant pas à l'éviter, j'essaie de l'accepter cette panique, de la traverser, en restant accrochée à l'idée qu'elle va cesser, et que c'est peut-être un chaos dont la traversée est nécessaire pour que la solution émerge.

Preceptele 12 juin 2021 à 18:21  •   62326

"Respirer ça aide aussi, il paraît" : Esprit / Spiritus / Spirare / Souffle / Vent : Indispensable

"c'est peut-être un chaos dont la traversée est nécessaire pour que la solution émerge" : Entropie / Néguentropie : Nécessaire

😇 : @Ambre31

Melissale 12 juin 2021 à 18:49  •   62329

Oui cest vrai. Il faut que je my remette a la meditation.

Ambre31le 12 juin 2021 à 19:33  •   62332

Respirer, c'est méditer d'une part seule avec soi-même, mais c'est aussi d'autre part respirer avec d'autres. Pour ma part en tout cas, si les deux me semblent évidemment nécessaires, en ce moment, ma respiration a beaucoup besoin des autres, peut-être justement pour ne pas se noyer complètement dans la panique, accepter la dose supportable. Donc trouver le moyen d'être avec d'autres régulièrement, d'échanger, comme si être à leur contact me permettait de réguler mon rythme de respiration. Ensuite, je trouve qu'il faut être déjà suffisamment serein pour se centrer, seule sur soi-même.

et @Precepte si tu te mets à citer des mots se succédant sans lien les expliquant, dont certains en outre en latin 😉, je vais avoir beaucoup de mal à te suivre 🙂 . Sois indulgent avec nous autres incultes 🙂.

Anjole 12 juin 2021 à 19:46  •   62334

Il paraît que la peur est le contraire de l' amour

Ambre31le 12 juin 2021 à 19:49  •   62335

Tu peux développer @Anjo ?

Preceptele 12 juin 2021 à 19:50  •   62337

Les sens des mots m'ont semblés tomber sous le sens.

Milles excuses @Ambre31

🙄

Anjole 12 juin 2021 à 19:54  •   62338

C'est juste une clé qui m'est venue en lisant la conversation
la peur engendre la paralysie, l'amour l'acceptation , la puissance.

Ambre31le 12 juin 2021 à 19:58  •   62339

Merci.

Preceptele 12 juin 2021 à 20:04  •   62340

La peur est une réaction instinctive chimico-physique et neuro-psychologique pour apprêter le corps et l'esprit à se battre et à fuir.

Les mots Amour et Puissance, ensemble, je n'ai pas les mots...

Ambre31le 12 juin 2021 à 20:19  •   62342

Ca me paraît une clé effectivement. Si on se fie à ce que l'on sent : la peur ressentie est le signe qu'il faut fuir; au contraire si ce qu'on ressent nous pousse en avant avec force, c'est là qu'il faut aller.
J'ai été aussi intriguée par le mot puissance, mais je le comprends comme force positive, au sens individuelle et force collective créée par l'échange de la rencontre. C'est bien ça @Anjo ?

@Precepte, ne t'excuses pas 🙂, je t'indique juste les limites que peuvent rencontrer tes lecteurs 🙂.

Astile 12 juin 2021 à 21:38  •   62351

@Melissa je te lance juste des idées comme ça (mais qui moi m'ont aidé) mais au vu de ce que tu décris, il s'agit pour toi d'aller regarder tes peurs (car tu es très claire malgré que tu l'aimes, tu ne veux pas d'un homme qui couche avec d'autres). Une rupture c'est toujours difficile en soi mais au delà, aller regarder la peur, laquelle ? celle d'abandon, de rejet ? La peur de ne pas retrouver quelqu'un d'aussi bien que lui (tu parles de ses qualités) ? d'où vient-elle cette peur ? D'une blessure, qu'il faudra soigner sinon la peur restera.

Aller regarder son style d'attachement, aussi, anxieux ? alors oui c'est difficile de se retrouver seul.

Pour moi, il n'y a qu'en allant au plus profond, qu'on peut se libérer. Il n'y a que comme ça que le conflit peut se résoudre, et laisser vivre les émotions, elles nous libèrent (c'est le conflit, la résistance qui fait souffrir).

Melissale 12 juin 2021 à 22:16  •   62353

C'est surprenant, je viens de recevoir sur messenger un message d'une inconnue:
(Sachant que jai mal au dos depuis un mois et que mon doc suspecte une spondylarthrite, je dois faire des examens semaine prochaine):
Voici le message (qui ne semble pas être de la pub): qu'est ce que vous en pensez ?
« Toutes les grandes personnes ont d'abord été des enfants, mais peu d'entre elles s'en souviennent. » (Antoine de Saint-Exupéry)



L'enfant intérieur désigne la part enfantine (siège des émotions où sont stockées joies et peines) de l'adulte.



Se reconnecter avec son enfant intérieur est une technique thérapeutique pour se libérer des blessures du passé, de trop de colère ou de tristesse réduite au silence. En apprenant à écouter l'enfant en soi, l'adulte réhabilite celui qu'il a été. Reconnaître sa souffrance c'est déjà commencer à guérir.



Sans toujours en prendre conscience, on se laisse souvent guider par son enfant intérieur. Si la partie adulte en soi fait appel à la raison, la partie enfant est emportée par les tempêtes émotionnelles de son enfant intérieur. L'adulte dont l'enfance a été malheureuse et non sécurisante (victime de violences physiques ou psychologiques, témoin impuissant de la détresse de - l'un de - ses parents...) peut s'enliser dans un schéma d'échecs ou de dépendances. Ce n'est jamais seulement l'adulte qui souffre (débordé par son angoisse, sa peine, son euphorie ou ses sautes d'humeur) mais c'est l'enfant en soi dont les besoins ne sont pas entendus. L'adulte se retrouve tel un enfant égaré et effrayé dans un monde ressenti comme hostile, ne sachant comment agir ni à qui demander de l'aide. Ainsi certains événements (assimilés à de l'injustice, du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de la trahison) ravivent des traumatismes passés et déclenchent des émotions exacerbées, dont l'adulte rend responsable les autres : son/sa partenaire, ses parents, ses collègues... Certains se montrent agressifs, négatifs ou méprisants, d'autres deviennent passifs ou soumis et se replient sur eux-mêmes. Si l'adulte adopte des postures différentes selon les circonstances et les interlocuteurs, son enfant intérieur revit avec douleur son incapacité à trouver des solutions face à une situation pénible.



L'objectif des thérapies basées sur la guérison de l'enfant intérieur est de permettre à l'adulte d'accueillir les parties inconscientes de sa personnalité pour combler les parties manquantes et faire la paix avec son histoire, pour s'orienter vers l'action et un rapport apaisé au monde extérieur. En analyse transactionnelle, le monde intérieur de chacun est composé des trois États du moi (pensées et sentiments associés à des comportements) : le Parent qui établit les règles, l'Adulte qui pense, décide et résout les problèmes et l'Enfant qui ressent et réagit. Par une (re)prise de contact avec son enfant intérieur (perçu comme potentialité de transformation, comme source d'intuition, de spontanéité, de joie de vivre, de curiosité et d'enthousiasme), l'adulte puise dans ses ressources internes.



La collaboration des parties adulte et enfant a pour but de satisfaire les besoins de l'une et l'autre. Il s'agit de devenir tel un parent attentionné et bienveillant avec l'enfant en soi, de tenir compte de son caractère, de ses désirs et de ses opinions, de savoir jouer avec lui tout en lui donnant un cadre éducatif. L'enjeu pour la partie adulte (qui materne - et/ou paterne - la partie enfant en lui) est d'activer un sentiment de sécurité affective et la capacité à s'accorder la permission d'être davantage soi-même. L'adulte se prend en main pour assumer la responsabilité de son bien-être. Il va pouvoir faire un travail pour s'affranchir de relations addictives et toxiques : alimentation ou sexualité compulsive, hyperactivité ménagère ou professionnelle, sur-intellectualisation, partenaire maltraitant(e),codépendance affective, alcool, drogue...



Spontanément, l'enfant s'autorise à rêver, choisir, savourer l'instant présent, rire, crier, sangloter. Puis il se recroqueville sous les brimades des adultes et s'approprie leur fonctionnement pour perdre son authenticité : s'engouffrent alors en lui l'anxiété et le contrôle de soi. Petit, parce qu'il dérangeait à trop pleurer, on l'a enjoint à cesser (parfois avec un biberon ou un biscuit). Lorsqu'il avait peur, on lui a expliqué qu'il n'avait pas peur. Plus tard, lorsqu'il agaçait (en s'agitant, s'opposant, parlant), on l'a envoyé dans sa chambre. L'enfant comprend qu'il n'a pas le droit de s'exprimer, voire de ressentir de la peine. Il se convainc qu'il est de trop ou insupportable, mais qu'il peut boire ou manger plutôt que d'apprendre à gérer ses émotions. Il grandit en croyant que son point de vue n'est pas valable, qu'il vaut mieux se taire pour être apprécié. Adulte, il redoutera de sortir de sa zone de confort.



Comment s'aimer et être heureux quand son enfant intérieur a vécu la tristesse, l'abandon, la dévalorisation ? L'enfant en soi a verrouillé sa capacité à être naturel, à se respecter et à se faire confiance. Il s'est conformé aux attentes des adultes, à ses jugements moralisateurs ou cassants : le bien, le mal, ce qui est normal/correct ou non, ce qui se dit/fait ou non, la façon de se vêtir ou non. Dans une stratégie de défense, l'adulte cache aux autres (comme à lui-même) ses carences affectives et la facette de soi qui souffre. Il a appris à développer plusieurs aspects d'une personnalité pour finir par s'identifier à ce faux self (version falsifiée et adaptée de soi) pour plaire aux autres. Censurant son enfant intérieur (le vrai soi, enfoui), en porte-à-faux avec son individualité, l'adulte donne le change pour être accepté. Il analyse (soi, la situation et les autres) pour être, faire, dire comme tous. Craignant l'erreur ou l'échec, il doute de sa capacité à savoir ce qu'il veut, à agir et à assumer les conséquences de ses actes. S'il ose écouter son intuition et ses envies, sans suivre la voix adulte en lui, il se blâme et ressent de la culpabilité... et parfois le besoin de se punir et de souffrir.



L'enfant en soi est porteur de souvenirs heureux et positifs comme de souvenirs tristes et négatifs. Se remémorer les bons moments de son enfance, c'est replonger dans les sons et les odeurs, dans l'époque des dessins animés, des copains, de l'école. Tout était alors souvent plus simple, vous saviez lâcher-prise. Instaurer un dialogue intérieur avec cette partie de soi dont on s'est coupée va permettre de puiser dans les capacités de régénération et d'épanouissement de son enfant intérieur. De ce refoulement de soi (lors du passage vers l'âge adulte) découleraient mauvaise estime soi, sentiment de vide, mal-être et conflits intérieurs. Il s'agit de retrouver son vrai moi pour être capable de s'aimer et d'aimer, en se libérant de ses blocages, pensées limitantes et messages contraignants (injonctions implicites et explicites transmises par nos parents). Tout adulte tire un bénéfice (à moins d'avoir eu une enfance parfaite, sans critique ni conflit) à laisser renaître l'enfant en soi. Retravailler le lien douloureux de l'adulte à son passé (marqué par l'ignorance, la cruauté, les manipulations...) et à ses attachements archaïques (souvent la relation mère-enfant) va amorcer une transformation intérieure.



Se replonger dans ses photos d'enfance est l'un des moyens pour instaurer un dialogue avec son enfant intérieur : on lui demande s'il veut bien nous parler et comment il va, on lui raconte l'adulte qu'on est devenu. Cet exercice peut d'autant plus mettre mal à l'aise qu'on a du mal à accepter l'enfant en soi. Puis on laisse venir les réponses... On écoute ce que cet enfant a sur le coeur, on entend ce dont il a besoin, on l'encourage pour lui donner la capacité d'agir et de s'épanouir en tant qu'adulte. On prend son temps pour apprivoiser l'enfant en soi, pour réfléchir à ce qui lui a manqué : la tendresse, les valorisations, l'attention, la compréhension... On laisse remonter les émotions... on accueille la souffrance de ce petit être meurtri, on le répare, le panse, le console et le rassure (dorénavant on sera là pour lui).



Guérir son enfant intérieur permet d'accepter pleinement son moi profond (avec ses qualités, ses valeurs et ses failles), d'accueillir ses émotions et ses besoins, de se respecter et s'affirmer, de se libérer de problématiques de communication (de poids, de stress, d'addictions, de difficultés d'attachement ou de dépendance affective...), de donner du sens à son existence et peut être aussi de pardonner à ses parents - sans doute dans la répétition inconsciente de leurs propres blessures et schémas de vie.

Ambre31le 12 juin 2021 à 23:30  •   62361

Oui, c'est étrange... Il y a des choses pertinentes me semble-t-il là-dedans. Mais ce genre de message sur Messenger, en général je jette direct.

Anjole 13 juin 2021 à 08:03  •   62368

Bonjour puissance c' était dans le sens d'avoir la possibilité d' agir sur la situation car il n' y a rien de pire que de subir en ayant l' impression de ne rien pouvoir faire pour que ça change

Anjole 13 juin 2021 à 08:07  •   62369

Je ne suis pas Michel Odoul mais la peur, la paralysie, le dos ça peut être lié.. parfois c'est le corps qui parle

Mankindle 28 juin 2021 à 00:08  •   63009

Bonsoir tout le monde,
j'écris pour la première fois sur un forum ...sur les recommandations d'Ambre. Je me lance.
Melissa, peut-être que ce qui se répète dans ta vie d'adulte est un "sevrage" trop brutal dans ton enfance.
Quand enfant, on ne nous a pas séparé du sein, puis un peu plus tard de la mère avec douceur, peut-être qu'adulte on a du mal avec la séparation.
A mon avis, tu mérites une relation amoureuse équilibrée, respectueuse et entière.
Un bonhomme, Jean-Daniel Causse, qui a écrit sur la catastrophe, nous dit que de ce qui peut nous apparaître comme un événement dramatique peut survenir du nouveau. On croit parfois à tort que tout va s'effondrer si on se sépare mais ce n'est qu'une croyance qui nous empêche de sortir de cette répétition mortifère mais qui nous rassure car nous maintien dans la souffrance que l'on connaît trop bien.
Faire du vide autour de soi peut permettre du nouveau dans sa vie.
Je crois que tu mérites mieux que l'insécurité d'une telle relation. À mon avis, il ne te mérite pas et tu ne mérites pas d'être traitée ainsi, ni enfant, ni maintenant.
Tout cela n'est que mon point de vue mais un point de vue sincère.
Voilà. Bon courage

Mankindle 28 juin 2021 à 00:10  •   63010

Pardonnez-moi les fautes d'orthographe de minuit. Sourire

Ambre31le 28 juin 2021 à 17:35  •   63034

Bienvenue sur le forum @Mankind, je te souhaite de riches échanges avec tout plein d'@piens.
A noter, @Aurel a eu l'idée fort utile de créer une icone valide un certain temps (je en sais pas lequel) pour corriger ses fautes. Après parfois les fautes témoignent juste de notre enive d'écrire des choses ausii vite que nous les pensons...

Je ne sais pas si tes questionnements, @Melissa, se sont apaisés depuis, je l'espère. Parfois il faut se laisser du temps...

zozottele 29 juin 2021 à 13:22  •   63058

Bienvenue @Mankind,et t'inquiète pas pour les fautes,je te bats !🙂

Mankindle 29 juin 2021 à 14:58  •   63061

Merci pour votre accueil @Ambre et @zozotte.
C'est chouette d'être parmi vous.

Juliette...le 29 juin 2021 à 16:05  •   63062

Bienvenue @Mankind! 🙂

Mankindle 29 juin 2021 à 19:07  •   63068

Salut @Juliette,
merci également pour ton accueil.

elsbzhle 29 juin 2021 à 23:05  •   63084

Bienvenue @Mankind !

Mankindle 30 juin 2021 à 15:36  •   63112

Salut Elsbzh,
merci ton attention.
Au plaisir d'un échange.
Bonne journée.


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