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Carlos Tinoco

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Carlos Tinoco
Christophele 02 février 2019 à 13:49

On l'a évoqué brièvement hier soir lors d'une rencontre à Lille... cette vidéo sur "les surdoués et la sociabilité usuelle" me parle énormément. Evidemment, rien de très rock and roll, juste un type qui parle face caméra pendant dix minutes. Elle explique très précisément ce que j'ai ressenti à maintes reprises. Peut-être fera-t-elle écho chez certains d'entre vous.

voir la vidéo

Mapy84le 02 février 2019 à 19:14  •   3162

Effectivement, cette vidéo fait totalement écho en moi.
"Ouai c'était sympa " 🙁

Ce sentiment "d'étrangeté" lors de ces moments en société.
Totalement déroutant à vrai dire, les conversations "superficielles" ou factices m'ennuient profondément et c'est là que ce sentiment de "décalage" se fait ressentir.

Marionle 19 février 2019 à 12:16  •   4536

Oh la... oui....
Je décroche rapidement en général, car je m'ennuie.
Se voir y être, se voir parler.
Objectivement, on voit que c'est un bon moment, on voit que les autres s'amusent et que cela a l'air facile, mais on n'y est jamais totalement.
Et on culpabilise de ne pas être emporté par l'ambiance générale et de se dire "c'est bientôt fini".
Je ressors de ces moments avec un fort sentiment de culpabilité, la sensation d'avoir loupé quelque chose et d'être encore une fois apparue distante ou morne.

patrickle 19 février 2019 à 12:37  •   4539

très intéressante comme vidéo, c'est une belle analyse avec un belle angle de vue

Zebra3le 19 février 2019 à 15:25  •   4551

Excellent contenu, je me revois en soirée.. 😡
"toi et moi, qu'est ce qu'on a à partager ", c'est exactement ça.

"L'être humain est un paquet d'habitudes"

sarahcontele 06 avril 2019 à 20:35  •   8103

Le bouquin qu'il a co-écrit avec Sandrine Gianola et Phillipe Blasco est hyper intéressant aussi !

linale 09 mai 2019 à 13:40  •   10749

Nécessité de reproduction du même pour évacuer angoisse de mort, arrêter le temps... C'est donc cela qui s'y joue... (douloureuse (très) et apaisante cette vidéo  comme bien d'autres de Tinoco...).  "L'autre" (nous... et oui, possibilité d'un nous. Se sent bien moins seul après ça, cette prise de conscience que fonctionnement qui ne nous est pas si propre que ça...) apparaît alors comme décalé, voire inadapté parce que trop intrusif, trop ceci, trop cela... Comprendre ce qui s'y joue... ne me fera pas pour autant passer une meilleure soirée mais vrai pansement que de comprendre ça... Merci pour cette vidéo...

Bentole 09 mai 2019 à 15:44  •   10753

Merci pour cette vidéo, je ne connaissais pas ce monsieur, et vu l'écho que cela produit en moi je crois bien que je vais m'envoyer son bouquin.

J'ai remarqué chez moi le plaisirs de rencontrer de nouvelles personnes, ou de revoir des personnes éloignés depuis un petit moment, et puis si je les revoit trop souvent je me lasse...
Rares sont les personnes que je vois très régulièrement sans m'ennuyer.
Du coup je m'impose des périodes de "vide" afin que l'autre est assez de temps pour se remplir et me partager du neuf.

Julienle 09 mai 2019 à 16:03  •   10756

@Christophe

Cette vidéo me parle beaucoup, merci Christophe ! En plus, l'intervenant est plutôt marrant, il a des expressions faciales rigolotes, j'aime bien.

Je me souviens précisément, ma première crise de panique est arrivée à cause de cela : on écoutait un album de rap avec un gars, et il me dit "écoute cet album, une tuerie", et chaque chanson qui passait était si prévisible, les mêmes thématiques, les mêmes attitudes, le déroulement des chansons même, était si facilement "devinable", du copier-coller de tout ce qui se faisait à l'époque, j'en ai fait une crise de panique. Cette sensation horrible, que tout, autour de moi, est pré-déterminé, que la liberté individuelle n'est qu'un leurre. Mais comment ce gars pouvait-il prendre du plaisir ?

Ma seconde crise de panique : idem, j'étais à Londres sur Oxford Street, l'artère commerçante, et tout autour de moi, des gens qui achetaient des objets inutiles en se réjouissant, et j'entendais des "oh that's so nice!" ou "it's so cool !" ou "I want to buy that", "ow my god look at this ! ", cette masse d'humains répétant les mêmes phrases en tenant les mêmes objets entre les mains, tout était totalement prévisible, comme écrit d'avance ; je me suis dit que j'étais entouré de robots, avec des programmes d'expression pré-enregistrés. Bang ! Crise de panique !

A chaque fois : la prévisibilité des mots, des attitudes, qui me fait vriller. L'impression, peut-être narcissique je n'sais pas, qu'à ce moment là, je suis le seul, à encore faire usage de mon esprit critique.

"Du temps vide", exactement... C'est la raison pour laquelle j'ai coupé contact avec tous mes anciens amis, ces dernières années : ces discussions vides, en boucle, automatiques... Je m'ennuyais tellement que du coup je faisais le show, le comique, je "mettais l'ambiance", je faisais le bouffon, je brisais les codes, jouais avec les gens, pour créer de nouvelles dynamiques de groupe et à tout prix sortir, de ces discussion d'un ennui mortel ; et le groupe attendait cela de moi, à chaque réunion. On attendait de moi la "fonction" de "maître de cérémonie" si je puis dire, et à un moment, je ne m'y retrouvais plus. Je voulais être moi-même, pas ce personnage de soirée forcément exalté et provocateur.

Sans s'en rendre compte, mes anciens amis m'avaient enfermé dans un rôle qui leur convenait, à eux : l'amuseur. Je me cachais derrière ce fameux "second degré" pour "pimenter" ces moments de sociabilité d'un ennui terrible. Je vannais les gens, me moquais, ironisais. Puis j'en ai eu marre, de me cacher derrière l'humour.

Pour autant : puis-je reprocher à quelqu'un de ne pas être original ? De ne pas avoir de points de vue pertinents sur tous les sujets ? De ne pas avoir eu la chance, de rencontrer ces personnes, qui nous apprennent à faire bon usage de notre esprit critique, ou à nous exprimer de manière "efficace" ? Ou bien tout simplement, d'être timide en société, de ne pas oser exprimer ses opinions, de rester dans le politiquement correct, par peur de brusquer, de vexer, de faire souffrir, ou de soi-même se retrouver en marge du groupe ? Non, je ne peux pas.

Il s'agit alors pour moi de trouver ce juste milieu entre épanouissement personnel, et empathie pour ceux qui n'auraient pas pu développer certaines aptitudes de réflexion, d'expression, d'analyse - aussi condescendante que cette phrase puisse paraître.

Merci encore Christophe, vidéo stimulante et éclairante.

Christophele 09 mai 2019 à 18:44  •   10764

Content de voir qu'une partie d'entre vous puisse s'y retrouver. En effet les ouvrages de Carlos Tinoco sont parfois un peu ardus mais les idées et les notions sont minutieusement décortiquées et non pas survolées comme souvent. La vidéo en rend l'accès plus simple sans sombrer dans le simplisme. C'est ce genre de vidéo qui permet, je trouve, de constater que ce que l'on ressent n'est pas juste de l'étrangeté, de la folie ou que sais-je encore. On a parfois tendance à croire que, puisque tout le monde s'amuse en soirée et qu'on s'y ennuie à mourir, on est trop exigeant, qu'avec quelques efforts on rentrerait dans la danse. Sauf que non. On feint. On faux-selfise. Et on rentre chez soi le soir en se demandant ce qui déconne chez nous puisque tout le monde a passé une soirée fantastique. Une soirée "sympa"... je ne supporte plus cet adjectif de "sympa", tout est sympa, une personne, un vêtement, une chanson, un verre à moutarde, une douche à l'italienne... Je m'emmerde dans le monde sympa. J'aspire à un truc intense. Une amie (zèbre aussi) m'a dit il y a quelques mois quelque chose de très juste: les soirées zèbres ne sont pas énergivores. On peut parler des heures, partir dans tous les sens, et en rentrant, on n'est pas crevés. Alors que de certaines soirées, où l'on fait semblant que "sympa, c'est déjà énorme", on ressort épuisés, lavés, rincés, essorés.

Julienle 09 mai 2019 à 18:46  •   10765

@Christophe

"Sympa", l'adjectif insupportable, en anglais : "fun".
Là, je pète un cable. 'It was so much fun".

NabouNaboule 09 mai 2019 à 18:57  •   10767

c'était sympa comme vidéo -_-

Aluminele 10 mai 2019 à 12:38  •   10793

Je viens de comprendre pourquoi je finis toujours par bouder lors des vacances en famille...
Ça me semble toujours aussi aberrant de savoir que des gens puissent avoir une discussion sans contenu informatif ou émotionnel, mais bon, si c'est par peur de la mort ils ont bien le droit...
Parfois c'est à tel point que lors des repas en famille il arrive couramment que deux personnes disent la même chose en même temps, ça montre bien à quel point tout est codé et prédéterminé.

Par contre je me demande qu'est-ce qui change dans le rapport à la mort que nous avons, puisqu'on n'a pas autant besoin de ces discussions vides et de ces cases...

Indi3dle 13 novembre 2019 à 00:59  •   24470

Mais c'est parfois assez reposant d'être dans cette situation.
Ou peut être est-ce un moyen par défaut pour tromper la solitude.

Berengerele 13 novembre 2019 à 17:49  •   24513

@Christophe .....excellent ! 😂
Punaise, le nombre de fois où j'ai dit "c'était sympa cette soirée!" avec un air désabusé et les yeux en trous de beigne !

Foggedle 24 novembre 2019 à 18:55  •   25723

Merci pour cette vidéo, grâce à elle je me suis rendu compte que c'était exactement ce que je vivais depuis des années sans savoir pourquoi.
Cet ennui que je ressentais souvent quand j'étais invité et j'ai même finis par ne plus accepter de m'y rendre, du coup plus de relations sociales autre que familiale.
Même quand des sorties sont organisées sur ce forum je ne peux m'y rendre car la question qui me viens en tête et "qu'est ce que ça va m'apporter et à ceux et celles que je vais rencontrer".

Heidile 12 janvier 2020 à 11:41  •   32519

Merci pour le lien, cette vidéo m'a permis de mettre le doigt sur un malaise que j'ai souvent ressenti en société, et plus particulièrement dans les soirées réunissant un grand nombre de personnes : une impression d'ennui, d'impuissance à trouver les codes, le temps qui ne passe pas et un sentiment de déprime en rentrant chez moi.
Comme il est dit dans un des posts plus haut, je ne ressens pas cette fatigue au retour d'une sortie entre surdoués, c'est très juste.

Kezedjle 12 janvier 2020 à 19:47  •   32546

J'ai lu son livre "Les surdoués et les autres : penser l'écart", et j'en recommande la lecture.
Rassurez vous sur la terminologie: ils expliquent (ils sont 3 auteurs) pourquoi ils ont utilisé le terme "surdoué" en une petite dizaine de page au tout début. Aussi, si le terme "surdoué" vous rebute dans le titre, soyez tranquille, les auteurs ne l'aiment pas non plus. Bref.

En terme de contenu, le livre est très intéressant car il parle de "surdoué" à la première personne. Il ne s'agit plus de faire un tableau clinique avec des profils types (comme l'a fait Jeanne iaud-Fachin); mais plutôt de creuser dans la structure psychologique des "surdoués", et la comparer à celle des "neurotypiques".

Sans spoiler le livre, une phrase m'est restée (pas au mot près):
"En somme, un neurotypique définit son "soi" par une intersection d'appartenance à des cases, et joue le rôle social recommandé pour chacune d'entre elles ("Je suis un homme/ une femme; de 20/70 ans; étudiant, ouvrier, cadre supérieur, ou patron d'une PME; marié ou célibataire; etc..."). Le "surdoué", de son côté, connais parfaitement l'existence de ces cases et des rôles à jouer; mais il/elle définit son sentiment du soi par toutes ces petites choses qui dépassent des cases, qui ne rentrent pas dans le moule".

Nagushile 13 janvier 2020 à 01:38  •   32590

@Yuna ben tiens, exactement ce dont on parlait !

Yunale 13 janvier 2020 à 09:51  •   32596

@Nagushi Thanks, les gens en parlent en termes intéressants ^^

Maverickle 21 janvier 2020 à 00:43  •   33736

@Christophe
La vidéo n'est pas Rock'n'roll mais elle est tip-top ! Fondamentale ! Merci ! 😍

@Kezedj
C'est bon, avec ton extrait qui rejoint certaines de mes réflexions du moment, tu m'as convaincu de me procurer et de lire son livre "Les surdoués et les autres : penser l'écart"
Serais-tu commercial de profession ? 😉

Kezedjle 21 janvier 2020 à 10:37  •   33770

@Maverick
Non, pas du tout :p Je n'arrive même pas à me représenter dans ce genre de profession - la simple idée d'être payer pour inciter des gens à acheter quelque chose dont ils n'ont pas besoin me glace les os !
Pour en revenir au livre lui-même, je le recommande chaudement parce que j'avais commencé moi-même avec des lectures de Jeanne Siaud-Fachin sur la question des zèbres (et j'y ai appris des choses), mais j'étais resté un peu sur ma faim à plusieurs égards. Avec Tinoco et ses compères, là on commençait le plat de résistance; là on attaquait les problèmes de fond; là on avait une description d'une oeuvre d'art en musée, non par la stagiaire en comm' qui bosse au musée ce jour-là, mais par les excavateurs de l'oeuvre eux-mêmes. Alors tout ce qui est écrit n'est pas absolument vrai (rien ne l'est jamais), mais il y a une dimension de légitimité supplémentaire. Et comme les choses sont vécues et racontées à la première personne, ça fait très vite écho en soi (en tant que lecteur concerné par la question des rayures).

Juliette...le 23 janvier 2020 à 11:09  •   34097

voir la vidéo

Juliette...le 23 janvier 2020 à 11:33  •   34098

Je précise que j'ai regardé plusieurs vidéos de ce Monsieur, toutes très intéressantes. J'ai posté celle-ci mais ç'aurait pu en être une autre 😉

Tangle 23 janvier 2020 à 11:53  •   34099

@Juliette,

J'ai regardé toutes ses vidéos...certes c'est très intéressant...on peut s'identifier dans ce qu'il dit...mais est-ce que cela fait de nous forcément des surdoués ? Bof je n'en suis pas convaincu...peut-être encore cet effet Barnum...

Après oui il faut faire les tests pour voir...

Juliette...le 23 janvier 2020 à 12:03  •   34100

Quoi qu'il en soit, l'analyse de l'état dépressif qu'il fait ici est très intéressante.
Oui, les tests. Je suis en train, une nouvelle fois, de chercher à qui je pourrais m'adresser. Et vers chez moi, il n'y a pas foule. D'autre part, je ne peux m'empêcher de me dire que, même avec un QI révélé, je ne saurais par quel bout prendre les choses pour changer ce qui doit l'être dans ma vie...

Tangle 23 janvier 2020 à 22:41  •   34187

@Juliette

Exactement pareil que toi, si demain j'apprends que je suis HP, oui c'est cool...et après ?
Comme tu dis cela ne changera rien concernant la direction à prendre...sauf si on se bride à cause d'un manque confiance concernant notre intelligence, au point de se sentir vraiment "sous-doués" ?

Mais d'un autre côté ça peut être marrant de passer le test (par curiosité)....après c'est clair que le mec qui a une vie palpitante a forcément autre chose à faire 😄

Honeypsychobadgerle 11 février 2020 à 20:02  •   35957

@ Tang Effectivement, c'est cool si ça peut te permettre d'arrêter de douter, une première certitude dans le processus de connaissance de soi. Mais si tu veux trouver une direction, on invente rien c'est toujours le bon vieux "connais-toi toi-même", qui à notre époque pourrait se dire qu'il faut d'abord comprendre comment fonctionne la mécanique: à mon avis, c'est surtout les tests d'évaluation psychologique qui peuvent apporter beaucoup.
Si tu veux comprendre plein de trucs sur toi en te marrant, je te conseille d'aller voir la chaîne YouTube Psychocouac, c'est simplement génial.

Cameleazebrale 11 février 2020 à 23:31  •   35975

J'ai vu cette vidéo pas longtemps avant d'aller à une soirée, du coup lorsque le moment fatidique du "qu'est ce que je fais là, j'ai mon bouquin ou ma série qui m'attend dans le confort de mon chez-moi..." j'ai pris mon courage à deux mains et je suis passée d'un groupe à l'autre, il y avait une trentaine de personnes dont les 3/4 que je ne connaissais pas. J'ai un peut mis la zizanie dans chaque conversation que je rejoignais, ils ont du me prendre pour une allumée, je les ai fait rire c'est déjà ça... détourner une conversation de routine pour amener les gents à parler vrai ou même cru, ça passe ou ça casse! En tout cas cela m'a changé les idées.... Et à un moment, la sauce à pris, j'ai pu avoir une discussion super intéressante avec une femme très fun, pétillante, pleine d'humour et on a eu un échange stimulant et une vraie connexion... J'ai sans doute trouvé l'autre philo-C. de la soirée... J'ai pas eu le temps d'en avoir la certitude, elle avait déjà trop abusée de ses cocktails et est devenue incohérente... Un autre moyen pour supporter ces soirées aussi, mais je ne tien vraiment pas l'alcool pour ma part! ;o) Enfin voilà mes pistes pour s'adapter ou juste passer un bon moment.... A une autre soirée, j'étais tombée sur une bibliothèque bien fournie, mais si j'ai passé un bon moment ce soir là, bizarrement ça n'a pas plus...
Et vous vos techniques et conseils?

remanule 12 février 2020 à 12:30  •   35980

Bon moi pour passé une bonne soirée je ne vais pas en soirée.🙂
Bon d'accord je ne suis peut être pas de bons conseils la!😄

Nagushile 13 février 2020 à 02:48  •   36013

@Juliette je viens de regarder la 2e.
Ça me fait beaucoup cogiter...

Ça me rassure énormément ce qu'il dit sur le sens et sur l'erreur de Maslow.

A la fin de la vidéo, il est assez touchant avec l'enseignement du Petit Prince.
Là aussi, ça me remet un peu en paix avec ma prétendue "immaturité".

Juliette...le 13 février 2020 à 07:00  •   36019

Oui, par rapport à mon vécu, cette analyse fait vraiment sens. Et puis oui, elle donne de l'espoir. Elle donne envie de réanimer les rêves 🙂

Juliette...le 27 novembre 2020 à 14:00  •   48678

Voilà de quoi se déculpabiliser pour ceux qui auraient (à tout hasard😄 ) parfois l'impression de tourner en rond ou qui ne comprennent pas pourquoi ils ont du mal à passer à l'action.voir la vidéo

MAReadle 01 décembre 2020 à 23:47  •   48921

Ah c'est marrant, je suis justement en train de le lire!
Oui la répétition inerte, qu'est-ce que ça peut être ennuyeux...
Ma pire honte à un dîner mondain, c'était quand j'ai inondé de questions un mec qui parlait de son pays, la Serbie, et qu'il a dit à sa femme, pfffffff! Tu peux lui répondre toi?
J'ai rougi, je me suis tué et je suis sortie prendre l'air !
J'adore son livre qu'il a coécrit avec ses potes surdoués, des psychanalystes.

Le livre est un peu ardu de prime abord et il faut souvent relire des passages mais ça ouvre les yeux sur l'écart entre notre récit et le récit collectif!
Je vous le recommande...


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