La définition du mot est tellement mal précisée selon moi. Difficile de se rendre compte qu'on est capable de répondre par des pans entiers de textes...
Quand j'entends une écholalie, je l'associe toujours à moi même. Ce qui parfois peut donner des univers d'entente super inquiétants et je me mets vite à voir le mal partout. Cela va inquiéter l'interlocuteur qui ajoutera du mal au mal fictif. C'est pas bon, alors je fuis.
En plus, on vit dans une société où on couvre des mal-êtres qu'on ne veut pas rendre explicites/clairvoyants. Alors on mache intérieurement ce mal-être qui nous rend infernal. Et si on ose ouvrir la bouche, alors c'est le drame.
Le périphrasage est nécessaire, mais comment le construire ? S'entraîner à modifier légèrement la phrase en gardant son sens de manière à élargir sa palette de phrases ?
S'adapte-t-on bien à faire des écholalies ?
Bonne chance à vous !
(Je serais plus vigilent.)
Mais je pense c'est plus mon problème de concernement qui affecte ma communication avec les autres...
(Et puis j'ai l'impression que les algorithmes font une énorme caisse de raisonnance collective sans raisonnement.)
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