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- Guerre armée ou alternative. la peste ou le choléra ?
Il n'y a rien à redire sur le fait que les guerres armées ont été pendant bien trop longtemps un fléau pour l' "Europe". Et bien d'autres pays au passage. Mais ce n'est qu'un secret de polichinelle, nous sommes en pleine guerre économique, idéologique, politique, sociétale, intellectuelle, spiritualiste, et informationnelle. J'espère ne pas trop avoir oublié trop de domaines. En gros, la guerre s'est métamorphosée pour mieux persister. Elle ne s'est jamais arrêtée, elle a juste changé de forme.
C'est un phénomène historique très connu. Tout ou presque tend à se reproduire. Mais comme les phénomènes changent de forme, on peut n'y voit que du feu. Si un parti décidait de porter le nom de "Néo-Nasiste", ce serait une invitation à une réaction populaire très violente... Alors qu'en fait... Mais passons.
Parlons de la cause de la quasi-disparitions des conflits armés. Il est assez certain que ce phénomène repose sur la dissuasion thermo-nucléaire. Quelque-part, c'est un danger mondial. Mais il faut bien admettre que ça a apporté une forme de paix. Malheureusement, la violence est polymorphe; pas besoin de frapper plus fort qu'un autre pour blesser ou dominer. Ce n'est plus un secret, la forme de violence actuelle est psychique et psychologique. Préférable aux conflits armés ? Je ne crois pas. Mais nous devrons nous endurcir par l'étude, la réflexion et l'abstraction. C'est seulement si nous prenons cette peine que nous pourrons accomplir des choses significatives. Participer aux "néo-guerres" ne mènera à rien. D'une certaine façon, c'est de la poudre aux yeux qui nous empêche de voir les origines de nos problèmes. Avant que cette lutte ne puisse commencer sur des bases saines, il faudra nous unir et former un ensemble cohérent. J'espère que nous en aurons le temps avant que l'égocentrisme ne détruise le monde.
Plante toi un couteau dans le bras et tu veras la différence... Parler, renoncer, s'adapter et accepter aide. Mais comme toujours le savoir n'est pas absolu. (On n'a pas inventé la Société des Nations pour rien.)
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Le véritable problème, c'est celui qui accumule les trombonnes. L'Etat était con, aujourd'hui il se rationnalise/libéralise de mieux en mieux (quoique). Il y a encore énormément à apprendre à comment ne pas se faire bouffer (défense, étatisation, persona non grata ou taxes aux étrangers pour riches, peut être des mesures moins drastiques également). Duopole étatique ?
Eh bien d'une certaine façon, je l'ai fait. Je me suis volontairement mutilé à la lame sur mes avants bras. Et ça n'a provoqué qu'une douleur superficielle très admissible pour un HPI dominant son corps. Par contre, face aux souffrances psychologiques, il m'a fallu deux ans pour trouver une réaction. Je suis assez passionné de torture. Principalement chinoise et médiévale européenne. Qu'y a-t-il de plus délicieux que de broyer une main phalange par phalange ? Peut-être d'écorcher une personne petit à petit. Mais sans conviction finale. Les supplices chinois atteignent des degrés de souffrance bien supérieurs. Un simple exemple, le supplice de la goutte. Il consiste à laisser tomber une goutte d'eau à intervalles réguliers sur la tête d'un supplicié. Dans un premier temps, c'est un vecteur de folie. Mais si ce n'était que ça, ce ne serait pas fun. En un second temps, les gouttes finissent par creuse la peau, provocant des souffrances insoutenables d'ordre physique tout autant que psychologique. Ça, c'est l'essence de l'art.
De nos jours, on se sert soit d'électrocutions, soit de sérums de vérité. Je touve ça complètement simpliste. L'usage des sérums de vérité est probablement la bonne marche à suivre. La torture me fascine, mais je ne la cautionne pas. S'il suffit d'injecter un sérum de vérité pour faire parler une personne, eh bien tant mieux. Ça évite des souffrances à tout le monde.
Personnes sans second degré, fuyez. L'étude de la torture n'a été pour moi qu'un exutoire. Je ne suis ni pervers ni sadique.
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Ce n'était pas le but, mais au moins la discussion existe. Ta souffrance tu ne la dois pas au changement, mais au statu quo.
Merci Airbus. Très rapidement, dans mon enfance, je suis devenu résistant à presque toute forme de douleur physique. Dans Hunter X Hunter, je m'identifie à "Kilua" un assassin désigné refusant son destin, mais insensible aux poisons, la torture, et l'électricité. Mais la douleur psychologique est une autre histoire. Je crois que c'est la forme de douleur ultime. Car elle touche aux fondements de qui nous sommes. Mais sans certitude. Je ne suis absolument pas un pro en psychologie ou en psychiatrie. Ce n'est encore qu'une thèse.
Demain on aura tout oublié et on recommencera... Quoique ? ("#shoah")
https://www.apie-people.com/forum/loisirs-passions-et-hobbies/histoire-et-sciences-humaines/international-peace-making-126931
3 confiances/2 pardons minimum par personne (ou demi-oeuil pour oeuil, demi-dent pour dent ?). Faites mieux !
(L'humanité est une entropie de violence.)
Comprendre la critique.
La souffrance vient du statu quo, pas du changement.
(Cela prendra au moins encore 50 ans.)
Et attentions aux habitudes et à la bienséance (différente de la bienveillance).
Demain est une résurrection après une "mort" Ça correspond compétemment à mon point de vue. Mais ce n'est pas pour autant que "demain" efface nos griefs du jour. En partie, il est vrai, mais pas forcément totalement. Certains phénomènes (illusion ou réalité) demandent des efforts. Nous sommes théoriquement capables de surmonter ces épreuves. Ainsi parois, elles nous dépassent (Les épreuves divines ne sont en rien justes. Juste des rituels de passage). Pour clarifier, je crois qu'il nous est a tous proposé une épreuve à passer. Mais a chacun son rythme. J'ai probablement échoué en tant que deva, rendez-vous pour la prochaine édition. Et à chacun son degré d'échec. L'épreuve des devas est probablement la plus difficile. Mais pas impossible à passer. J'ai simplement commis trop de fautes de type attachement physique que pour pouvoir parachever ce stade. Mais je n'ai aucun regret. Siddhartha a renoncé à sa famille et ses enfants. Je ne peux m'y résoudre. Même si ça me condamne vers un enfer, je préfère de loin laisser à mes enfants une éducation libre et épanouissante. Et si je dois être condamné à un enfer, qu'il en sot ainsi. Je suis encore trop humain que pour accéder au Nirvana.
Au lieu de ne pas répondre, je préfère affirmer que je ne sais pas pour le reste... (Cependant la démocratie ECLAIREE BIENVEILLAMENT est un bien précieux.)
Evaluer le degré de gravité est un angle mort (qui doit être dicté par une norme collective).
=> Dépend des solutions.
Ampleur des souffrances VS Solutions existantes ou à envisager
Donc à chacun d'affirmer ses convictions (pour obtenir l'approbation générale) ! Tout en espérant éviter des biais d'écho.
(Devrait on pondérer "injustement" les voix en fonction d'un critère ???)
Personnellement, je compte sur la bienveillance des puissants. (Une bonne élite n'a rien à prouver, encore faut il qu'elle aie conscience d'elle-même.)
Peut être aussi on manque de pédagogie et la vie est trop courte pour connaître son code.
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