La paranoïa est un trouble neuronal

La paranoïa est un trouble psychologique caractérisé par une méfiance excessive et infondée envers autrui, souvent associée à des pensées de persécution et de complot. Bien que la paranoïa puisse être causée par divers facteurs, tels que des traumatismes, des abus ou des troubles neurologiques, il est possible d'essayer de l'expliquer d'un point de vue neuronal.

Le cerveau humain est constitué de milliards de cellules nerveuses, appelées neurones, qui communiquent entre elles par des signaux électriques et chimiques. Certaines zones du cerveau sont impliquées dans la régulation des émotions et des comportements sociaux, qui pourraient être perturbées chez les personnes atteintes de paranoïa.

Les recherches ont identifié des altérations au niveau des réseaux de neurones dans le cerveau des personnes atteintes de paranoïa. En particulier, des études ont suggéré une hyperactivité de l'amygdale, une structure du cerveau impliquée dans la régulation de la peur et des émotions négatives. Cette hyperactivité pourrait être à l'origine d'une augmentation DE LA SENSIBILITÉ AUX SIGNAUX SOCIAUX MENAÇANTS OU AMBIGUS, CONDUISANT À UNE INTERPRÉTATION ERRONÉE DES INTENTIONS DES AUTRES.
Cette hyperactivité -> pourrait être à l'origine d'une augmentation -> de la sensibilité -> aux signaux.

Il est donc important, de couper les signaux.
couper les signaux -> pour ne plus être sensible à ceux-ci -> et de réduire -> ainsi l'hyperactivité.

Ce que les mystiques, répètent depuis des milliers d'années à la population.
VOUS CONTRÔLEZ VOTRE CORPS, si vous arrêter de vous faire dérouter par votre environnement.


Avoir une position neutre et libre signifie être ouvert d'esprit et capable de penser de manière critique et indépendante sans être influencé par des préjugés ou des partis pris. Cela implique de rechercher des informations de différentes sources et de les évaluer de manière objective avant de former une opinion ou de prendre une décision.

En revanche, les théories conspirationnistes sont des croyances qui attribuent des événements à des complots secrets menés par des groupes de personnes ou d'organisations qui cherchent à exercer un pouvoir ou à contrôler la société. Les partisans de ces théories n'ont souvent pas de preuves factuelles pour étayer leurs affirmations, mais ils cherchent plutôt à expliquer des événements complexes par des causes simples et facilement compréhensibles. Les théories conspirationnistes peuvent conduire à une vision du monde PARANOÏAQUE et à la méfiance envers les institutions et les autorités.
En somme, avoir une position NEUTRE et libre face au pouvoir implique de rester objectif et critique, tandis que les théories conspirationnistes impliquent une méfiance et une défiance exagérées envers les autorités et les institutions, souvent basées sur des preuves insuffisantes ou inexistantes.

Au niveau de la santé mentale, la première position est saine,
l.o.l. la deuxième, ne l'est pas du tout.

Le mot "politique" provient du grec ancien "polis" qui signifie "cité" ou "ville-État". Ainsi, étymologiquement, la politique se rapporte à la gestion de la cité ou de l'État. La politique concerne donc les affaires publiques et collectives qui relèvent de la sphère de l'intérêt général plutôt que des intérêts privés. En ce sens, elle est opposée à la sphère de la vie privée et des intérêts individuels.

En tant qu'êtres humains, nous avons la capacité de juger nos actions en fonction de nos valeurs, de notre éthique et de notre conscience.

Cependant, notre capacité de jugement peut être influencée par divers facteurs, tels que nos croyances, notre éducation, notre environnement social et culturel, et même notre état émotionnel et mental du moment. Il est donc important de prendre du RECUL, de réfléchir et de remettre en question nos propres jugements et comportements, afin d'agir de manière plus consciente et réfléchie.

Toutefois, cela ne veut pas dire, que l'on ne peut pas faire d'introspection. Et, arrêter notre sempiternelle dialogue intérieur.


D'autres recherches ont également mis en évidence des altérations dans les circuits neuronaux impliqués dans la perception de soi et des autres, ainsi que dans la prise de décision sociale. CES ALTÉRATIONS POURRAIENT CONTRIBUER À LA MÉFIANCE ET AUX PENSÉES DE PERSÉCUTION ASSOCIÉES À LA PARANOÏA.

Voilà, pourquoi il est important de ne pas s'engager dans une conversation avec un(e) paranoïaque.
Celui-ci (elle) est dangereux.